Un premier amour restera toujours unique
Nous sommes en février, toutes les publicités des abribus vous le crient haut et fort, c’est bientôt la St Valentin. Alors, je rentre dans le moule, je veux vous parler de l’amour. Vous vous demandez peut-être que vient faire l’amour dans la traduction et la révision de contenus scientifiques. Moi, j’ai envie de vous dire que ça tient une place centrale.
J’aime ce que je fais, j’aime que mon travail aide les chercheurs à tirer plus de leurs résultats, à publier plus rapidement et à prendre plus de plaisir au cours du processus. Et bien sûr, j’aime que mon travail me donne l’occasion d’apprendre tous les jours, de rester au fait des dernières avancées, de découvrir de nouveaux domaines scientifiques. Même si tous les sujets sont importants et intéressants, un frisson d’amour change tout.
Un premier amour est toujours unique. En science, mon premier amour était l’immunologie, sujet de ma thèse et de mon post-doc. La stimulation des récepteurs, les cascades de signalisation, la différenciation cellulaire, les anticorps, les réarrangements de gènes – j’adore tout !
Il se trouve que le premier article à arriver chez moi ce mois-ci était un papier d’immuno. Je suis aux anges !